Je suis de retour après deux heures avec Enrique (ce n'est pas son vrai prénom, mais il a bel et bien un prénom exotique). Finalement, il est bel et bien aussi beau que sur sa photo.
Enrique a 35 ans, un bac en administration et travaille dans le domaine des assurances. Son père est espagnol et sa mère québécoise, il parle donc trois langues. Après échanges de quelques courriels, on s'est parlé au téléphone. Pas de très longues conversations, car la première fois il était à Québec (le truc avec les cellulaires c'est qu'on se retrouve en interurbain sans le vouloir) et la seconde fois, je l'ai appelé de mon bureau. Nous devions nous voir jeudi, mais j'étais débordée alors nous avons remis notre rencontre. Finalement, on s'est vus aujourd'hui parce que je ne me sentais pas bien hier.
Nous sommes allés prendre un verre dans un petit bistrot pas loin de chez moi. Sympa, pas de "red flags" en vue. Il m'a dit que j'étais belle, c'était mignon sans être macho ni déplacé. Il bougeait et parlait beaucoup, je ne sais si c'était de la nervosité ou le Guru qu'il a bu avant de venir, ou encore s'il est toujours comme ça. Je présumme que j'aurai l'occasion de m'en rendre compte prochainement puisqu'il a suggéré qu'on se revoit jeudi. :) J'espère qu'il sera un peu plus "flirtatious" que ce soir, car j'avais parfois l'impression d'être avec un ami. Où est donc le sex appeal des latinos?
1 commentaires:
Non mais, c'est quoi cette obsession des filles avec le flirt à la première rencontre !? Un gars bien intentionné qui veut être un sincèrement gentleman bâillonne ses pulsions libidineuses et les enferme à double tour à la première rencontre, c'est la moindre des choses lorsque l'on cherche une relation à long terme.
D'ailleurs, un autre prétendant a été rejeté, entre autres, parce qu'il parlait trop de sexe... beau paradoxe.
Ou peut-être que comme dans l'intro, la madame refuse to settle for anything else than butterflies ...
Ne laissons pas Annie flusher un innocent.
Sauvons Enrique !
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